L’objectif de recherche et la contextualisation est double : il s’agit d’étudier le contexte de production de l’inscription en milieu montagneux, et la réception de cette même inscription par le biais de l’estampage, une reproduction à l’encre sur papier.
« Goût et accès à l’art asiatique en Europe (1850-1950) »
La rencontre du public belge avec l’art asiatique au tournant du siècle se déroule au sein des expositions universelles, grâce aux pièces envoyées par les comités nationaux étrangers.
« L’Exotisme rêvé : l’art décoratif d’exportation et les inspirations orientales »
Les « chinoiseries » désignent des productions européennes d’inspiration chinoise. Ces mêmes pièces ont pu par la suite inspirer les artisans chinois pour la production de marchandises destinées à l’exportation.