La rencontre du public belge avec l’art asiatique au tournant du siècle se déroule au sein des expositions universelles, grâce aux pièces envoyées par les comités nationaux étrangers.
Les « chinoiseries » désignent des productions européennes d’inspiration chinoise. Ces mêmes pièces ont pu par la suite inspirer les artisans chinois pour la production de marchandises destinées à l’exportation.